MON CORPS :
Cette enveloppe faite de chair, d’os, de liquide, qui s’est formée à partir de la duplication d’une toute petite cellule. Telle est la magie de Mère Nature qui a fait du corps la plus belle machine.
 
Ce corps que souvent nous n’aimons pas…..et pourtant…..
Il accueille notre âme, qui la choisit, notre esprit, nos pensées, notre énergie.  Tout ce qui fait l’être que nous sommes aujourd’hui pour traverser les étapes que nous offre la vie et gagner à chaque pas en connaissance de soi, en conscience des choses, en sagesse. Ce corps qui, au fil du temps grandit, vieillit et nous fait grandir et vieillir aussi.
 
Ce corps que nous n’aimons pas….et pourtant….
Il est notre meilleur ami. Il nous guide, nous parle. Souvent rempli de douleur, atteint de maladie, il fait mal, du coup on a tendance à le maudire. Si au lieu de cela on l’écoutait, l’interrogeait. Chaque symptôme est là pour nous décrire ce qui ne va pas, en prendre conscience. Il nous permet de faire ainsi le lien entre le corps et l’esprit et souvent de soigner la cause et non le symptôme.
Ce corps que nous n’aimons pas….et pourtant….
Il est le reflet de qui nous sommes vraiment. Chacun a sa forme, gros, grand, petit, maigre….son apparence montre nos blessures, nos traits de caractère, nos épreuves passées, nos faiblesses mais aussi nos forces. Il est notre baromètre, nous donne la couleur du temps (chaud, froid, humide) pour nous aider à nous réguler, et la température de comment on est sur le moment.
Alors arrêtons de le nier, de le snober, de l’ignorer, apprenons à lui parler, à l’écouter, il est notre ami sur notre chemin de vie. Si le mental et l’esprit avancent sans être connectés à notre chair, alors notre corps saura nous le rappeler. Il sonnera les alertes, les alarmes, et si nous n’écoutons pas il frappe plus fort. Il est là pour nous GUIDER.
Alors plutôt que de le détester AIMONS le 😍
C’est l’expérience au travers de mes douleurs et l’accompagnement, chaque jour, de mon guide spirituel Délio et de mon âme soeur ma cousine Béa, qui me permettent aujourd’hui d’en parler ainsi.